L’artiste anglais John William Waterhouse est souvent appelé à tort les préraphaélites. Il partage l’amour des préraphaélites pour les intrigues basées sur la poésie et la mythologie, mais dans son travail il y a encore des échos de symbolisme. Waterhouse est un grand nombre de peintures sur des sujets mythologiques, historiques et mythologiques et la particularité de ses peintures est son modèle.
Dans toutes les peintures, l’artiste n’a écrit qu’un seul de ses modèles préférés, Muriel Foster, que l’on peut voir en étudiant le travail de l’artiste. Ainsi, dans le tableau “Vanité”, ce modèle est représenté de manière allégorique. La fille, se regardant dans le miroir, avec une tête fièrement levée, redresse la rose écarlate dans sa coiffure. Elle est vêtue d’une tunique blanche translucide à travers laquelle son corps nu regarde.
Cela ne semble rien de spécial, mais si vous faites attention à l’expression sur le visage de l’héroïne, il devient clair le nom de l’image – “Vanity”. La fille est clairement vaniteuse, elle s’efforce toujours de bien paraître aux yeux des autres afin de confirmer sa supériorité sur eux, et peut-être même d’entendre des flatteries d’eux. Ceci est d’une grande importance pour elle, car sans l’attention des autres, elle n’imagine pas sa vie.
L’héroïne est dans son appartement près de la coiffeuse, sur laquelle reposent ses bijoux, ses perles de nacre et un vase aux belles fleurs. Apparemment, elle va sortir et se prépare à montrer sa beauté. L’héroïne est vraiment belle. Son visage est rose et charmant, et sa peau est blanc comme neige. La figure en couleur et en lumière est mise en évidence sur un fond sombre et sombre. Ce contraste donne à l’intrigue une touche de drame. L’intrigue étant une allégorie de la vanité, l’artiste cherche à montrer ce vice dans sa peinture. Et il réussit magistralement. Ce n’est pas pour rien que le nom de John William Waterhouse est resté dans l’histoire de l’art mondial.