C’est l’un des portraits les plus lyriques de Françoise Gillet – une femme, en regardant les photographies dont vous comprenez qu’il y a en elle quelque chose de surnaturel qui la distingue des autres. Picasso a rencontré Françoise en 1946. Au début, ils ont été réunis par l’art, après un certain temps une histoire d’amour a commencé, qui a duré près de dix ans.
La relation n’était pas simple: l’artiste n’était constant que dans l’amour de la muse, mais cette fois il n’est pas parti, mais il a été abandonné. Réalisant que le meilleur était dans le passé, Françoise a quitté Picasso, devenant la seule femme qui a rompu le lien avec lui de son plein gré.
C’était la passion, la détermination intérieure et la fermeté. Cela se reflète dans le portrait de 1946: dans la clarté des lignes, la composition de l’œuvre. Un détail particulièrement frappant est la chevelure, frisée et bouclée, donnant une idée du caractère de la femme représentée.
La ressemblance extérieure d’elle avec Françoise Gillet, capturée dans les photographies, est difficile à deviner, mais sincère – tout à fait. Pour un artiste, être capable de reconnaître une personne est très important. C’est difficile de le faire si vous ne l’aimez pas. L’amour, apparemment, l’était.