Le tableau présenté “Marae” appartient à l’un des plus grands impressionnistes de son époque, Paul Gauguin. L’endroit Marae, auquel la peinture est dédiée, traduit littéralement de la langue polynésienne signifie “un endroit dégagé et exempt de mauvaises herbes”. C’est le lieu sacré de la Polynésie à l’époque pré-chrétienne. Sa nomination était liée à la fois aux événements sociaux et aux rituels païens.
Une zone dégagée remplissait un grand espace clos, au centre duquel se trouvait un akhu en pierre sacrée. Le marae en Polynésie française était équipé d’une pierre en forme de divinité, dont Gauguin a présenté un exemple. Sa zone pittoresque, comme d’habitude, est pleine de couleurs arc-en-ciel. Ceci est un champ jaune-citron qui peut être appelé “délicieux”. Gauguin l’a clôturé avec une clôture en bois avec des sculptures caractéristiques pour les îles polynésiennes. Paul Gauguin a écrit une sérénité tranquille entourée de montagnes lilas. Pour équilibrer le lilas froid du fond, l’artiste a attribué des fleurs exotiques à la clôture.
L’écriture avec des taches de couleur donne typiquement la main du maître, ainsi qu’une solution inhabituelle aux éléments individuels. Faites attention à un tas d’herbe grise près de fleurs en fleurs rouges – entrecoupant une nuance absurde dans un patchwork de pièces lumineuses. L’absence d’ombres de Gauguin conférait au paysage un caractère planaire, cependant, les sommets rocheux à l’horizon étaient abattus par la lumière du soleil. Ce sont des hauts jaunes aux reflets indécis de lumière, ils respirent la nature et le volume. Plusieurs stries de nuages de plumes ont également animé le ciel.
Une lueur rosée indique l’aube, mais le jaune du champ est si brillant et intact par les rayons cramoisis qu’il déchire la toile en différents composants. J’aimerais travailler la toile dans l’ombre, pour qu’elle joue avec des couleurs plus vives, mais c’est tout Gauguin. Sa passion pour le graphisme japonais a influencé sa propre technique. Cela est mis en évidence par les lignes visqueuses et lisses des plantes, des arbres derrière le champ et, en fait, ce qui a été mentionné précédemment, la rare présence de demi-teintes. L’œuvre a été écrite après que Paul Gauguin a déménagé à Tahiti et est devenu l’une des nombreuses peintures de la collection chaude tahitienne de l’auteur.