Jean Auguste Dominique Ingres, vingt ans, peintre-académicien français à l’aube de son œuvre, s’est souvent tourné vers des intrigues et des mythes historiques pour la narration à l’huile. “Les ambassadeurs d’Agamemnon dans la tente d’Achille” – une toile de 1801, reflète pleinement le monde intérieur du jeune peintre et son désir d’imiter la Renaissance et les canons fixés par Raphaël lui-même. Ce sont des corps majestueux, en règle générale, nus avec la nature de l’addition. Ceci est une draperie et un horizon bleu luxuriant. C’est un dialogue stupide de héros, la présence d’attributs d’appartenance à la classe aristocratique.
La toile présentée, très juteuse et lumineuse, diffère d’autres exemples de son exécution par la franchise de la palette et une sorte de composition gay. Ensuite, les Ingres ne s’étaient pas encore concentrés sur un minimum de personnages, mais avaient essayé d’exprimer avec certitude les sentiments d’une histoire particulière. Et donc, Achille et Agamemnon. Ce sont des personnages mythiques, héros de l’épopée d’Homère “Iliade”.
Les événements se déroulent pendant la grande guerre de Troie pour la dixième année depuis son début – lorsque Agamemnon, le roi mycénien, a enragé le dieu Apollon, pourchassant son prêtre Chris en réponse à une demande de rendre la belle fille Chryseid pour sa récompense. Indistinctement, en réponse à l’humiliation de son prêtre, Apollon a commencé à lancer ses flèches sur les terres grecques, ce qui l’a forcé à se rassembler pour les conseils du héros Achille et des chefs militaires, dirigés par le roi Agamemnon. Achille se tourna d’abord vers Agamemnon avec des exhortations sur le retour de Chryseida à son père, sur la miséricorde, sur la prudence, à laquelle il reçut le consentement pour refuser l’élu en échange de la bien-aimée Achille Brisida.
La bataille entre les rivaux n’a pas eu lieu, cependant, les Dieux ont pardonné à Agamemnon, mais lui-même n’a pas oublié son ressentiment et, après la miséricorde de Dieu, a envoyé des hérauts à la tente d’Achille afin de prendre Brisida… C’est le moment des négociations qui est devenu le moment clé pour créer cette image. Ingres a doté ses héros de manières et de postures libérées, d’un angle libre et d’une nudité caractéristique. Les robes vives sont expressives, et la peau blanc laiteux des hommes contredit complètement leur vie militaire mouvementée et leurs errances dans les campagnes éternelles.
L’éclairage qui tombe sur le torse des gens et au premier plan s’apparente à un pavillon artificiel, sans atmosphère. La lettre de l’auteur est étonnante par sa base et son brillant. Ingres n’aimait pas le mélange des couleurs, donc sa peinture “parfumait” la pureté des couleurs, y compris la justesse des lignes et la facilité de la narration. Il s’agit de la première œuvre de l’auteur, toujours fraîche, toujours multicolore.