Sous l’arbre de Pandanus – Paul Gauguin

Sous larbre de Pandanus   Paul Gauguin

… Si seulement sous le ciel avec un renfort d’économie, une petite île perceptible, presque oubliée du nom de Bonheur, s’est rencontrée dans la mer des fous à peine… S. Trofimov. “Under the Pandanus Tree” – un tableau peint par Paul Gauguin en 1891, fait partie d’une collection unique de la période tahitienne de l’auteur. Il ne diffère pas dans sa géographie des autres toiles de la collection susmentionnée et raconte la vie des insulaires.

Je veux tout de suite noter la coloration plutôt sombre de l’image. L’utilisation d’une palette sombre avec une prédominance de nuances de spectre rouge à l’heure du soir. Pour mettre en valeur le paysage sombre, Gauguin a utilisé une couleur jaune clair pour l’image du ciel. La même bande jaune gisait au bord de l’eau.

En tant que héros de l’intrigue, l’auteur a choisi des personnages assez simples. Ce sont des femmes qui restent sous un grand arbre pandanique. L’usine mentionnée est remarquable pour sa taille gigantesque et le fait qu’elle est utilisée par les indigènes de Tahiti comme source de matière première. Une autre qualité des pandans réside dans leur vitalité et la force particulière des racines, qui protègent les plantes contre les chutes d’ouragans. Les habitants endurcis et les arbres non moins puissants sont devenus une sorte de personnification de la liberté et de la volonté puissante du peuple d’Océanie.

Paul Gauguin a utilisé la construction horizontale de la composition. Il a distingué le premier – le plan principal de l’image et le plan éloigné. Au loin, l’artiste déploie une partie d’un paysage tropical avec un paysage assez complexe. C’est la côte avec du sable vert, et l’océan, et une partie de l’horizon avec des vagues de mousse.

Pour faire revivre l’histoire, Gauguin a placé au centre de la composition un chien mince noir, puis, sur une bûche, une femme seule. En général, la composition est calme et modeste sur les émotions. C’est un genre domestique qui n’est pas sujet au pathos et à l’exagération. L’artiste reflétait sur toile la réalité qui entourait ses dernières années de vie, et était particulièrement proche de Paris – le lieu de sa naissance.

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