Cette image est un autoportrait, qui a été peint en 1884. Il s’agit de la dernière œuvre de l’artiste de ce genre, écrite dans le sud de la France, sur les bords de la Côte d’Azur. C’est là que le Dr Botkin a recommandé à l’artiste de partir. Kramskoy était malade et forcé de guérir; pendant son temps libre, il a réussi à dessiner avec sa fille.
La photo nous captive par son ambiance chaleureuse et lumineuse. Il représente la figure d’un artiste vieillissant qui peint un portrait de sa fille, Kramskoy, se représentant assis en un demi-tour. Dans le portrait, que l’artiste peint, une image d’une jeune fille au chapeau blanc. Le portrait n’est pas encore terminé, ce qui crée une sensation de naturel.
L’image est remplie non seulement de gentillesse, il y a encore de la tendresse et de l’amour, c’est grâce à ces sentiments que l’image est remplie de vie. Kramskoy, se représentant en mouvement, nous donne l’opportunité de devenir des observateurs du processus, exposant nos vies personnelles. L’image de la fille est représentée comme douce et jeune.
L’artiste, à mon avis, contraste avec l’expérience de vie du sage et l’image de sa fille, jeune, jeune, prête pour des actes ridicules. Comme un fil qui relie le présent et l’avenir. Avec son travail, il nous montre que les jeunes l’aimaient et il a volontiers essayé de trop manger son expérience de vie.
Avec quel amour, donnant toute son âme et tout lui-même, l’artiste, malgré sa maladie, dessine un portrait de sa fille. Il me semble que leur grand amour paternel les a liés. Très probablement, ils aimaient marcher avec leur fille le matin dans le jardin ou discuter autour d’une tasse de thé. Un père aussi talentueux ne pouvait pas avoir une fille stupide. Elle doit l’aimer inconscient. Et consulte avec lui sur toutes les bagatelles. Il ne la gronde même pas et ne l’éduque pas à la moralisation, leur relation se développe en se faisant confiance et en l’amour de l’enfant pour ses parents.