L’intrigue épique du tableau “Hercules ‘Choice” a été écrite par l’artiste italienne Annibale Carrachi sous l’influence de légendes mythologiques sur la vie glorieuse du demi-dieu Alcides. Le thème du choix difficile de la bonne voie dans la vie d’un jeune héros touchait encore le travail de nombreux artistes.
Dans la performance de Karrachi, la scène de lancement s’est avérée non moins complète et informative dans sa composition et sa palette de couleurs languissantes. L’auteur a posé la base de l’intrigue principale au moment où Depravity and Virtue avait déjà ouvert les cartes du jeune homme, montrant des routes complètement différentes. La légende à laquelle l’œuvre est dédiée a vu le jour dans le récit du sophistiqué grec Prodik, avec un récit de Socrate lui-même et un papyrus immortalisant Xénophon. L’histoire autrefois racontée est devenue une allégorie du dilemme éternel de l’homme et est entrée dans la vie moderne comme une métaphore du choix difficile de la bonne décision.
Dans la performance artistique, ce qui existe en prose n’est pas si facile à transmettre. Cependant, Annibale a réussi à exprimer la scène complexe et les tourments mentaux du jeune Hercules d’une manière compréhensible et accessible. Comme dans la paume de votre main se trouvent les “écailles” du vice et du bien. La vice-nymphe, comme d’habitude, est belle et pure. Elle est nue et à peine recouverte d’une brume de tissu. Ses attributs dans cette interprétation sont des masques, comme la personnification de la tromperie et de l’hypocrisie. En règle générale, la route qui offre le passage de Porok a de magnifiques jardins, champs, vallées, elle est directe sans barrières.
L’auteur n’a pas cherché de tels paysages. Mais le chemin sinueux et épineux de la Vertu représentait un paysage très sombre, étroit et rocheux. La femme de chambre même a un vêtement très modeste. À ses pieds est un poète qui fait l’éloge du héros. On sait qu’Hercules a choisi la voie difficile des essais. La toile est encore pleine de décisions mystérieuses. Le jeune homme est réfléchi, beau et fort. Sa jeunesse peut jouer une plaisanterie cruelle et canaliser les joies et les plaisirs le long de la route, sans faire du bien aux amis, sans vénération pour les dieux.
La scène de sélection est éclipsée par la palette lourde de l’image. Elle est trop sombre et triste. Détails “obstrués” avec une abondance d’ombres et de tons moyens. De très grandes figures s’insèrent à peine dans la toile, le poète est de près et le paysage est artificiel. C’est la vision de l’auteur, mais le spectateur reste à apprécier le travail du créateur du XVIe siècle, l’imitateur Rafael et Michelangelo.