L’artiste français Paul Gauguin est devenu l’un de ceux que les historiens de l’art appelaient les post-impressionnistes – avec V. Van Gogh et A. Toulouse-Lautrec. Il ne s’agit cependant pas de savoir où identifier l’artiste et à quel style de style l’attribuer. Il était une personnalité créative brillante, un clochard et un aventurier, un père de famille exemplaire et une personne vicieuse. Dans les personnalités de l’ère du modernisme, les extrêmes coexistaient en quelque sorte.
Les impressionnistes ont déjà commencé à abandonner la visualisation des objets et ont mis en évidence le principe d’auteur subjectif. Les lignes claires ont cédé la place au flou.
La palette de couleurs s’est également avérée particulière – soit délibérément hurlante, soit au contraire étouffée.
Par exemple, les paysages polynésiens de Gauguin sont exécutés de manière lorsque l’image elle-même est comme légèrement décalée, déformée par rapport à l’original. Quelque part dans le coin de la toile, les gens se sont “nichés”, mais cela ne fait évidemment que créer l’arrière-plan, et l’attention de l’artiste n’est pas concentrée sur eux. Oui, il est facile de deviner que ce sont des indigènes, qu’ils ont une tradition de porter des cruches d’eau ou des plats avec de la nourriture sur la tête.
Ici, leurs huttes dans les profondeurs de la végétation tropicale dense sont faites avec des couleurs beaucoup plus lumineuses. Sinon, on observe une émeute de verdure.