Le tableau “Spring” a été écrit par l’artiste anglais Henry Hetherington Emmerson. L’auteur de l’œuvre était un portraitiste et illustrateur, il aimait les peintures de genre sur des sujets domestiques. “Le printemps” appartient à la seconde moitié du XIXe siècle au genre portrait avec des éléments de personnification à l’image d’une fille au printemps.
Pour montrer l’éveil de la nature de l’hibernation, Emmerson a utilisé une solution gagnant-gagnant pour utiliser une fille comme personnage principal. Un enfant, comme le printemps, est la naissance de quelque chose de nouveau, d’inconnu et attendu depuis longtemps. Le bouquet que l’héroïne tient est également recueilli à partir de fleurs printanières. Les fleurs en apesanteur sont énoncées très subtilement. Le blanc et certains verts froids sont mélangés à leur palette. L’auteur est attentif aux moindres détails des plantes, ce qu’on ne peut pas dire de l’héroïne centrale de la toile.
Emmerson a utilisé une texture de couleurs très dense et une palette sombre pour écrire à la fois l’arrière-plan et la fille du printemps elle-même. Trop de brun et de rouge pour une si jeune créature. Je veux ajouter des notes fraîches de rose et de vanille à la couleur chaude. L’éblouissement et un peu plus de lumière supplie. Non? En analysant le paysage comme base du plan à long terme, un morceau de ciel bleu attire l’attention. Le coin “paradisiaque” de gauche est trop petit, mais la bouillie d’un mélange de plantes vertes et ocres occupe une quantité injustement grande d’espace.
La fille elle-même est douce et rougit. Cependant, il y a peu de vie et de nature. Le portrait a été peint d’après nature, mais il semble plat et tiré par les cheveux. L’image de la jeune fille est écrite avec une brosse sèche, en douceur et uniformément. L’auteur a accordé peu d’attention au clair-obscur et à l’écriture des plis de tissu. Par conséquent, le détail de la cape ne semble pas naturel. Dans son travail, Emmerson a utilisé de nombreuses couleurs pures – rouge, marron, suie. Soit c’est une habitude, soit l’artiste a peur de mélanger les couleurs.
Le “printemps” d’Emmerson s’est avéré être très fougueux, chaud, rouge et plat. La toile est tellement sombre que l’image de la jeune fille se perd en arrière-plan, à l’exception d’un bouquet léger.