“Portrait de Frédéric le Sage.” Lucas Cranach l’Ancien a capturé son patron dans un beau portrait gravé. Les traits modestes de cet homme fort et courageux trahissent une piété sincère. L’amour de la justice l’a amené, le vrai chevalier, aux côtés de Martin Luther. Comme Luther, il respectait les Écritures et luttait pour la pureté de l’Église et de la Parole de Dieu.
Sous le portrait, selon la coutume de l’époque, une inscription qui dit: “Je m’appelle à juste titre Frédéric le Sage, j’ai maintenu un monde béni avec beaucoup de sagesse, de patience et de bonne chance, malgré les machinations des ennemis. J’ai décoré mon terrain avec de nouveaux bâtiments et ouvert une université à Wittenberg, qui est devenu connu dans le monde entier, car la parole de Dieu en est sortie. Elle a détruit l’empire papal et rétabli la vraie foi. J’ai été élu empereur, mais j’ai rejeté cet honneur à cause de ma vieillesse, j’ai proposé d’élire Charles V comme empereur. Ni pitié ni argent Je change ma décision “.