
Hogarth était un ardent nationaliste. Cela se reflète dans le travail de l’artiste. Il n’aimait pas les Français, les méprisait toujours et les décrivait comme des esprits méchants qui, pour économiser de la viande, mangeaient des grenouilles frites. Il gloussa devant la religion officielle de la France – le catholicisme. Hogarth a également eu une expérience personnelle négative avec les Français.
Une fois dans la ville française, l’artiste a été arrêté comme espion lorsqu’il a fait des croquis des portes de la ville. Ne voulant pas écouter ses explications, la police locale l’a mis dans un bateau et lui a ordonné de quitter le pays, menaçant de le pendre. Échos de cet incident – dans l’œuvre de Hogarth “Porte de Calais, ou Oh, rosbif de la vieille Angleterre”.
Sur le côté gauche de l’image, Hogarth dépeint intentionnellement un artiste faisant des croquis. Dans cette composition, Hogarth incluait une autre figure servant de cible constante à son ridicule – l’Ecossais, qui fuit lâchement après une tentative infructueuse de réaliser le coup d’État jacobite et de restaurer sur le trône anglais “son” roi Charles Stewart.
Gates of Calais, or O, roast beef of old England by William Hogarth
La Puerta de Calais, o Oh, el Roast Beef de la vieja Inglaterra – William Hogarth
Sarah Malcolm – William Hogarth
Portrait de l’évêque Howley – William Hogarth
Portrait de William Cavendish, marquis de Hartington – William Hogarth
Rue de la bière – William Hogarth
Fille aux crevettes – William Hogarth
Opéra des mendiants – William Hogarth