L’image donne une image large et généralisée du paysage d’Oka. La première couverture de neige duveteuse est tombée au sol, aplanissant sa forme, rendant encore plus tangible la vaste étendue d’espaces ouverts. Le paysage a été peint d’une hauteur, de sorte que les yeux du spectateur glissent facilement sur la surface des collines enneigées et vont librement au loin, où le voile neigeux des champs se confond avec le ciel couvert de nuages gris.
La silhouette d’un arbre solitaire debout en profondeur apparaît clairement sur ce fond gris-blanc, qui attire davantage le regard du spectateur au loin, comme une rivière en retrait, perdue parmi les étendues enneigées. Les lignes larges et fluides sur lesquelles le paysage est construit lui confèrent une grande clarté et harmonie, une tranquillité et une portée épique.