Voici le tableau “Pleasant Reading”, écrit par l’écrivain de genre irlandais George Bernard O’Neill. La créativité de l’artiste a toujours été entourée par le thème de l’enfance et tout ce qui est lié à la relation de l’enfant avec la réalité environnante.
Les tableaux d’O’Neill dégageaient de la naïveté, de la gentillesse et de la chaleur. Cette dernière qualité est due non seulement aux thèmes bienveillants des œuvres, mais aussi à la palette, qui est devenue la marque de fabrique de toutes les œuvres de George. Les peintures que l’auteur a écrites étaient toujours dans le spectre chaud de la palette – c’était ocre, brun chaud, cadmium, jaune, rouge vif et en sourdine, rouge, etc. .
Le récit ressemblait à une carte postale, dont les reproductions de peintures étaient souvent utilisées comme messages de bienvenue au fil du temps. “Lecture agréable” – le travail touche au contenu et rien de plus. L’artiste a consacré son travail au thème sans prétention de la lecture d’un livre par une fille. Il n’y a pas de sens profond dans l’intrigue, mais sa discrétion ne provoque pas d’émotions négatives. L’angle habituel, la position du corps de la fille sur la chaise, un intérieur très simple et l’inattention aux petites choses ne provoquent pas de crainte lors de la visualisation.
Le jeu de la lumière et de l’ombre est clairement visible dans l’œuvre. Le seul point blanc est le tablier de la jeune femme. Il rafraîchit la coloration feutrée et monotone de l’image. O’Neill a doté l’héroïne de jolies caractéristiques et d’une tenue laconique. L’intérieur de la pièce est visible dans son contexte – un morceau de mur et de fenêtre, un tapis rouge au sol et un grand fauteuil ancien, un rideau rouge. Le mobilier mérite attention. Ceci est une chaise de tapisserie massive. L’ornement de tapisserie d’ameublement est très complexe et représente un complot fini. Intéressants bras et accoudoirs complexes, dos, pieds ornés d’acajou. La chaise mérite l’admiration pour le savoir-faire des menuisiers du XIXe siècle.
En général, le travail est présenté trop sombre et provoque une envie d’allumer la lumière dans la pièce. La lettre de l’auteur est trop sèche et quelque peu usée. La technique de peinture d’O’Neill n’a pas la légèreté et la fraîcheur du coup de pinceau, comme si le maître avait plusieurs fois interrompu une couleur avec une autre.