Le même type de femme Kustodievsky est répété: une fille de beauté douce et douce, à propos de laquelle, en Russie, ils ont dit “écrit”, “sucre”. Le visage est plein des mêmes charmes mignons dotés des héroïnes de l’épopée russe, des chansons folkloriques et des contes de fées: une légère rougeur, comme on dit, du sang avec du lait, de hautes arches de sourcils, un nez ciselé, une bouche de cerise, une serrée, une broche jetée sur la poitrine… Elle est vivante réel et incroyablement attrayant, séduisant.
Elle gisait à plat sur une colline parmi les marguerites et les pissenlits, et derrière elle, sous la montagne, il y a une telle étendue de la Volga, une telle abondance d’églises qu’elle vous coupe le souffle.
Kustodiev fusionne ici cette belle fille terrestre et cette nature, cette Volga s’étendant en un tout indissoluble. La fille est le plus haut symbole poétique de cette terre, de toute la Russie.
Bizarrement, l’image “Girl on the Volga” s’est avérée être loin de la Russie – au Japon.