Une femme vient dans la maison du maître, pleine de prospérité, de confort et de paix, devant laquelle, peut-être, la paix et la prospérité sont impuissantes… Devant nous se trouve le drame de deux mères, une native et une réception. Qui sait, pour quelle raison l’enfant s’est retrouvé dans une famille étrange, très probablement, d’un besoin profond qu’il avait de se déchirer son propre sang. Mais le garçon est clairement aimé ici, et il ne se sent pas du tout comme un étranger.
Une mère indigène est venue voir son fils et, peut-être, le chercher, lui a apporté un cadeau, mais l’enfant est effrayée par une femme inconnue et presse celle qui l’a élevé, sa mère. L’artiste a montré très vivement les sentiments et les émotions des héros de l’image: sa mère est à la fois excitée et confuse que son fils ne court pas vers elle, se pousse d’elle. La mère adoptive est également excitée, elle a peur et veut savoir pourquoi elle est venue, ne veut-elle pas prendre l’enfant qui est devenu sa famille? La même question est posée par le mari, le père adoptif. Et la nounou essaie de calmer la nouvelle maman.
La pièce est inondée de soleil d’été brillant, mais dramatique. joué sous nos yeux, ne correspond pas du tout à l’état joyeux de la nature, en même temps c’est un signe d’espoir que tout va se calmer, les gens se comprendront s’ils aiment ce glorieux petit garçon.