En 1874, à l’invitation de son ami le chanteur Jean-Baptiste Faure, fan de peinture impressionniste, Sisley visite l’Angleterre où, sans changer de principe, il travaille avec enthousiasme en plein air, préférant le paysage rural.
La vue qui a attiré l’attention de l’artiste lui a très probablement été révélée depuis la fenêtre de l’auberge, et il a capturé cette scène banale dans le tableau “La route de Hampton Court à Molusi”. Dans deux paysages du même nom, Sisley a “capturé” de façon réaliste des épisodes individuels dans lesquels le rôle des personnes présentes est réduit à une fonction décorative.
Les experts disent que l’évolution de la créativité de l’artiste devient plus visible, et en plus de la capacité à incarner des sensations, Sisley développe un réalisme dans la représentation des événements, tout en améliorant la précision et le détail.
Améliore considérablement l’impression et le manque de cadre, et l’utilisation habile de couleurs vives, transforme la composition en une source de bonne humeur.