Malgré le fait que Frédéric Bazille doit sa passion pour la peinture aux œuvres de Courbet et Delacroix, l’artiste lui-même a su créer un style unique et reconnaissable qui, ayant une personnalité distincte, s’inscrit néanmoins organiquement dans une nouvelle tendance révolutionnaire: l’impressionnisme.
Le tableau “Atelier sur la rue Kondamin” est sans aucun doute l’une des œuvres remarquables du maître, qui devait être éphémère, attire l’attention en tant que document unique de l’époque passée. Des personnages célèbres sont représentés sur la toile, même si à l’époque où l’œuvre était en cours d’écriture, leur renommée bruyante n’était pas encore venue, sauf que la célébrité scandaleuse après le Salon de 1866 rappelait la moquerie et la moquerie de la presse, non préparées pour un nouvel art.
Emil Zola et Auguste Renoir sont passionnés par les conversations animées, au piano Edmond Meter est un ami proche de Basil, et l’artiste lui-même dans une société de presque homonymes – Monet et Manet. De plus, ce dernier, après que Bazil a terminé le tableau, a personnellement “conjuré” la ressemblance du portrait de Bazil, de sorte que ce tableau porte également ses talents de pinceau. Le vaste espace de la pièce est représenté de manière très réaliste, où de grandes peintures volumineuses accrochées aux murs sont combinées avec un large vitrail sous un rideau insouciant et un poêle à ventre modestement abrité dans le coin, d’où va le tuyau de chauffage.
L’image a provoqué beaucoup de spéculations, ce dont Basil était incroyablement heureux. Et bien qu’elle ait reçu des notes plus négatives, le maître était déjà content qu’ils parlent de lui.