“Wave” est une exposition légère de la nudité. La peinture a été peinte pendant le développement d’autres vues sur le monde de l’art – l’académisme, correspondant aux critères de base du rationalisme et de la sensualité de l’auteur lui-même. Il s’agit d’une peinture parfaite avec la participation de deux personnages – la nature et une jeune femme.
La symbiose unique des éléments “vivants” inanimés de l’eau et du corps chaud et tremblant de la jeune fille est peinte de couleurs froides. Le trait caractéristique du dessin de Bouguereau de la nature humaine a naturellement et franchement doté la “Vague” d’une précision photographique. Sa femme avec un sourire enjoué et des proportions parfaites pour la nature de l’homme semble être retirée de la nature.
Mais il pourrait en être ainsi. La perspective de l’héroïne est intéressante. Comme si elle était saluée par quelqu’un, la fille se figea sur la bande de surf bleu, regardant en arrière pendant une fraction de seconde. Il y a seulement un instant, son attention était rivée au jeu des éléments et son corps était grand ouvert en prévision d’une vague de froid. L’habileté de l’artiste “colla” un sourire narquois aux lèvres de la femme, ce qui n’était pas caractéristique de l’école classique de peinture.
Flirtant avec l’artiste, elle flirte avec le reste de l’humanité de génération en génération. Malgré le talent d’Adolf Bouguereau pour écrire un homme, son élément n’en est pas moins talentueux. Cette eau avec une vague renversée, le rivage avec du sable mouillé, une série de crêtes à l’horizon sont réelles. Il captive la toile avec un minimalisme et une propreté de texture. L’absence d’anges “supplémentaires”, d’accessoires, de personnages supplémentaires, de flèches et de flammes, typique des intrigues baroques, simplifie la perception de l’intrigue. Bouguereau joue avec brio avec la lumière.
La toile donne la fraîcheur matinale à la brise dans l’azur des couleurs et de l’aigue-marine. Il fait froid. Le seul “mais” dérange l’œil. La dynamique des vagues, une rafale de vent, la densité des crêtes bleues suscite l’envie de décoiffer les cheveux de la femme. Ils devaient battre dans les courants d’air, comme une toile d’araignée, couvrant son visage, tombant dans ses yeux. Mais l’auteur n’a pas osé combiner l’énergie éolienne avec un choc châtain de cheveux bouclés. Il le rendit plus lourd, “tirant” ainsi l’héroïne un instant de la direction de la brise.