À la fin des années 1820, un tournant majeur s’est produit dans le travail de l’artiste. Après la mort de sa femme, qui a suivi en 1828, des notes mélancoliques et même tragiques commencent à sonner de plus en plus dans son art. Le calme épique et la grandeur des compositions sont remplacés par une émotion romantique.
Maintenant, le constable écrit souvent les fourrés denses de vieilles fermes, des arbres, avec des troncs épais, des nuages déchirés entraînés par de fortes rafales de vent, un ciel orageux et, enfin, des ruines médiévales et primitives.
Dans ses tableaux, la proximité avec les images de la nature chez les poètes romantiques se fait de plus en plus sentir. Dans le motif choisi, la force intérieure et la liberté libre commencent à se faire de plus en plus sentir. Le style pittoresque de l’artiste devient plus expressif. Il travaille comme une grande tache de couleur, met parfois de la peinture sur toile avec un couteau à palette.