Valentin Aleksandrovich Serov n’est pas seulement un portraitiste hors pair, mais aussi un merveilleux maître du paysage. Un exemple de ceci est la toile “Étang abandonné à Domotkanovo”.
“Étang abandonné à Domotkanovo” est une reconstitution photographiquement fidèle d’une image de la nature environnante. Le paysage transmet une atmosphère de paix et un sentiment de tristesse légère. L’étang de Domotkanovo est mal éclairé par des fragiles, qui traversent à peine les flux de lumière. Le ciel ressemble à une étendue de couleurs de tons blancs, gris-violet. Il y a une sensation de scintillement, la surface de l’étang scintille et scintille avec des nuances de ciel nuageux. Les couleurs ne font que s’épaissir et un changement d’état de la nature se produit sous nos yeux. L’élément naturel vit, respire, change d’humeur principalement en raison de la gradation de couleur intégrée.
L’image est caractérisée par l’absence de transitions nettes, accrocheuses, tachées sur le fond général des taches. Tout est équilibré et est une harmonie, à la fois ombre et lumière, et composition. La magnifique exécution de l’image du paysage crée non seulement une image remarquable par sa mise en œuvre, mais une réalité réelle. Les arbres qui poussent autour de l’étang se reflètent dans une couleur sombre, étirant et approfondissant l’espace, lui donnant un désir insaisissable d’aller plus loin.
Le paysage “Étang abandonné à Domotkanovo” incarne un lieu où règne l’intimité et la sérénité. La toile semble donner vie à des sentiments et à des pensées sobres et profonds, dont vous ne pouvez guère vous cacher parmi un tel silence et une telle omnipotence. Si le bruit du monde et la vanité peuvent encore être noyés par des pensées alarmantes implicites, mais persistantes et impénétrables si tôt, alors un endroit comme un étang à Domotkanovo peut être cette chance possible et si proche de trouver la paix de l’esprit et la paix.
En partie, la toile se caractérise par un degré élevé de gradation des couleurs, d’injection et d’intensification des ombres, ce qui ne fait que souligner l’atmosphère d’abandon et, en quelque sorte, l’oubli spatio-temporel. Le paysage est ascétique, froid et laconique. C’est comme séparé, clôturé, fermé et fermé du reste des passions du monde qui font rage, parfois inconnues et incompréhensibles. Le silence qui retentit de la toile et qui émane ainsi de ce paysage, s’infecte de son pouvoir invisible, faisant parler nos sentiments, et ne se tait pas parmi les cris et les entraves du monde. Peu importe combien de temps s’est écoulé et se passera, combien de jours et de nuits vont changer et resteront comme avant, ce silence, le balancement mesuré de la surface de l’eau et cet étang abandonné à Domotkanovo. Le paysage est ouvert et compréhensible, mais seulement à première vue. Parfois, la réalité plus réaliste et exprimée avec précision,