Le tableau “Les sept actes de miséricorde” est également connu sous le nom de “7 actes de miséricorde”. Vers 1607, elle est représentée par l’huile du Caravage, un artiste italien réaliste et influent du style baroque.
L’histoire des sept actes remonte à l’Évangile de Matthieu. Dans la foi catholique, ils s’incarnent sous la forme d’un ensemble de certains actes de compassion visant à apporter une assistance matérielle aux nécessiteux.
Sur la base du 25e chapitre de l’Évangile, les actes suivants ont été formés:
Enterrez les morts. Au fond, deux hommes portent un mort. Visitez les prisonniers, nourrissez les affamés. Le Caravage combine deux actes en un seul complot. À droite, une femme rend visite à un homme en prison et l’allaite. Abritez les sans-abri. Pilgrim demande à l’aubergiste un abri. Habille les pauvres. Saint-Martin a déchiré son manteau en deux et l’a donné à un mendiant nu au premier plan. Cela nous renvoie à une légende populaire avec ce saint. Visitez les malades. Cet acte est représenté par la rencontre du mendiant estropié et de Saint-Martin. Étanchez votre soif. Samson boit de l’eau de la mâchoire d’un âne.
L’historien de l’art américain John Spike note que l’ange au centre incite l’humanité à être miséricordieuse. Le choix de Samson en tant que personnage reflétant l’étanchement de la soif est si particulier qu’il provoque un choc. Selon l’un des complots de l’Ancien Testament, Samson, utilisant la mâchoire d’âne trouvée, a coûté la vie à des milliers de Philistins. Puis, quand Samson était en danger de mourir de soif, Dieu lui a envoyé de l’eau. Compte tenu de cela, il est difficile d’imaginer un tel personnage dans une image de miséricorde.