Le paysage a beaucoup en commun avec les œuvres de Van Gogh telles que Street in Auvers et Landscape near Auvers on a Rainy Day. Toutes ces œuvres sont unies par une intrigue similaire.
L’artiste a surtout tenté d’écrire la réalité qui l’entourait quotidiennement, toutes les heures, parfois fatigante de sa monotonie et de son isolement. Van Gogh a inconsciemment et très passionnément et impulsivement cherché un moyen de sortir de ce monde froid et fermé.
Malgré la similitude thématique de certaines œuvres, chaque peinture de Van Gogh est unique dans son mode de réalisation et repose sur son idée originale.
“Rue et escaliers à Auvers” – un nouveau paysage familier et en même temps insolite. Le thème de l’image est ouvert et compréhensible, et la technique artistique est inhabituelle et complexe, de sorte que quelqu’un puisse la répéter ou la comprendre pleinement et complètement.
Le paysage est un entrelacement difficile de formes spatiales, de lignes et de nuances. L’image provoque une sensation de distorsion. Des traits cassants, nets et intermittents, un contour noir intrusif, des nuances de couleurs incohérentes créent une toile complexe qui ressemble à un espace de rêves, d’images confuses et de souvenirs vagues.
On a l’impression qu’un peu plus et les images présentées dans l’image fusionnent en un seul mirage ou rêve indiscernable. Et ce n’est que grâce aux lignes de contour rigides du noir que nous pouvons contrôler toutes ces images fragiles et donc en mouvement ensemble, sans leur permettre de disparaître ou de se déformer.
Il est à noter qu’il ne s’agit pas seulement d’un paysage qui véhicule la vie calme et silencieuse de la commune française, mais d’une réalité animée. Encore plus dynamique, parfois déjà excessive, l’image donne l’image des figures des gens.
L’artiste a réussi ce que l’art de la peinture en général réussit rarement. Van Gogh a pu non seulement refléter la réalité, il a pris la vie elle-même, le mouvement de l’air, le souffle du vent, le changement de temps et d’espace. Ses peintures sont si réelles, malgré toute leur “limite” et leur irréalité, qu’il semble qu’avant que nous prenions vie un film, ses toiles semblent si tremblantes et vivantes.