Malgré le fait que l’esthétique stricte des Lumières françaises, le genre de la nature morte, en général, ne soit pas favorable, et il soit attribué aux genres “bas” des beaux-arts, un artiste rare de l’époque, sans parler des époques ultérieures, ne s’y est pas essayé. Et c’est un péché de ne pas être inspiré par les fleurs fraîches, le miracle miraculeux de leur beauté et de leur charme. Ainsi, l’artiste français Charles-Joseph Node en 1882 dans l’une des peintures a tenté d’impressionner le public avec la variété du monde floral.
Lorsque vous regardez cette image, vous êtes étonné de la précision, de la précision et de la précision photographiques de tous les détails, presque physiologiquement, vous ressentez le parfum et l’arôme d’un bouquet si riche, où dans un vase se trouvent des roses, des tulipes, des jonquilles, des pivoines et des delphiniums encore plus exotiques.
Le style artistique de Noud est extrêmement loin d’être impressionniste, bien que la popularité de l’impressionnisme à cette époque était en plein essor. Précisément, la clarté et non le flou des lignes pour les connaisseurs de la peinture est d’une importance particulière – tout d’abord, pour ceux qui sont éduqués dans les classiques et ne peuvent supporter aucune expérience moderniste.
On peut se demander si la ressemblance frappante avec un vrai bouquet est une vertu, mais l’artiste ne peut pas être privé de l’artisanat en filigrane.