Malgré le fait que le climat français puisse être considéré comme modéré et que les hivers y soient relativement doux, il dérange toujours d’humidité et d’humidité. Le cœur aspire au printemps et l’âme de l’artiste – encore plus! Et soit dit en passant, les impressionnistes avaient une raison particulière d’admirer le printemps et de le décrire inlassablement comme une période de transition, riche en tons et tons moyens, nuances de l’état de la nature en évolution rapide.
Cependant, pour être juste, il convient de noter que le printemps décrit par Claude Monet est déjà en plein essor. En hiver, comme on dit, ça ne “sent” pas ici. Au contraire, tout le monde vit en prévision de l’été: le ciel est plus haut, le soleil est plus lumineux, les arbres deviennent verts et deux sont venus soit pour une promenade soit pour un pique-nique. Un temps extrêmement instable témoigne du printemps: le vent le plus fort souffle. Il se penche au sol jeune, herbe fraîche et même arbres, jeunes bouleaux, s’efforce de se courber presque en arc de cercle. L’artiste parvient à transmettre la sensation quasi physiologique de rafales de vent frénétiques.
Pourtant, bien sûr, Monet écrit les troncs d’arbres – courbés, courbés, fait attention. Soit c’était son “truc”, soit ils le semblent sous l’influence du vent – c’est difficile à dire. Après tout, les bouleaux sont très jeunes, poussent dans un champ propre et il n’y a aucune raison pour que leurs troncs soient soudainement courbés.