Il s’agit du chancelier, associé de Pierre I. L’image d’un homme de cette époque s’exprime clairement à l’image de Golovkin. Grâce à son intelligence, sa prudence, sa dextérité, Golovkin a pu continuer à conclure 72 traités avec les gouvernements de différents pays.
Une pose remplie de retenue majestueuse et de vêtements de cérémonie – une camisole brune avec une pose dorée, l’Ordre de Saint-André et l’Ordre polonais de l’Aigle blanc, une perruque luxueuse – donnent au portrait une solennité particulière. Dans son visage calme avec des yeux intelligents et pénétrants, l’estime de soi et la fierté d’un diplomate russe, portant sa mission au profit de l’État, sont véhiculées.