
L’intrigue est tirée de l’histoire de la Grèce antique. L’image de la mort du tyran Polycrate crucifié par des ennemis est devenue l’une des œuvres importantes de l’artiste. Aux yeux du peuple du XVIIIe siècle, Polycrate n’était pas seulement un symbole de la variabilité du bonheur, mais aussi un exemple de tyran, impitoyable à ses sujets, terrible pour les ennemis, ne connaissant pas la mesure de l’ambition et la cupidité de la richesse.
Dans l’esprit de Kozlovsky, le thème de la mort du tyran s’est posé dans le Paris révolutionnaire. Elle a servi de sculpteur pour une réponse allégorique aux événements modernes. La soif passionnée de liberté, le sentiment de souffrance et de malheur atroce s’est incarné dans la sculpture et a reflété cette lutte intensifiée et intense, cette excitation incommensurable qui a imprégné la vie de la société européenne pendant les années de la révolution.
Kozlovsky M. I. – Vigile d’Alexandre le Grand – Mikhail Kozlovsky
L’Ajax protège le corps de Patrocle – Mikhail Kozlovsky
Catherine II à l’image de Thémis – Mikhail Kozlovsky
Generalissimo Alexander Vasilievich Suvorov – Mikhail Kozlovsky
Minerva et le génie de l’art – Mikhail Kozlovsky
Yakov Dolgorukov déchire le décret du tsar – Mikhail Kozlovsky
Kozlovsky M. I. by The Vigil of Alexander the Great – Mikhail Kozlovsky
Kozlovsky M. I. – La estela de Alejandro Magno – Mikhail Kozlovsky