Les figures humaines sont des invités rares dans les œuvres de Shishkin. Il a préféré écrire la nature, vivre selon ses lois naturelles, non déformée par l’activité humaine.
Dans les cas extrêmes, il ne donne que des signes d’une présence humaine proche ou pas très proche – sous la forme d’une route piétinée, d’une haie branlante, etc. Mais parfois des gens apparaissent encore dans ses paysages – généralement “cultivés”. Puis l’image cesse d’être un pur paysage et, complétée par des éléments d’une scène de genre vivante, se retrouve dans le genre borderland.
Telles, par exemple, les toiles “Paysage avec un chasseur”, 1867 et “Promenade dans la forêt”, 1869. Dans le premier cas, une personne est pratiquement perdue dans le paysage nordique; dans le second – au contraire, les gens deviennent un centre sémantique qui transforme le travail en un genre typique.