En juillet 1890, Van Gogh vint brièvement à Paris rendre visite à son frère. Il y rencontre le critique d’art et critique Albert Aurier. Le Pérou de cet auteur faisait partie d’un article plutôt positif sur les peintures de Van Gogh, exposées à Bruxelles. À cette époque, ce n’était pas la seule bonne critique sur le travail de l’artiste.
En particulier, le public a été très positif sur les peintures exposées au Salon des Indépendants à Paris. On peut dire que le talent de Van Gogh a commencé à recevoir progressivement une reconnaissance bien méritée, mais Vincent lui-même n’en était pas content. Il n’a pas abandonné l’idée qu’en tant qu’artiste il n’avait pas lieu. Bientôt, il est retourné à la hâte à Auvers, où il a peint le tableau “Paysage avec le château Auvers au coucher du soleil”, où ces pensées sans joie se reflétaient.
Sur une toile d’un format inhabituellement allongé, Van Gogh a représenté un chemin traversant des champs de céréales et deux poiriers. Au loin, vous pouvez voir une petite maison et un château enfouis dans le feuillage sombre des arbres. Le soleil roule vers l’horizon et le ciel se transforme en tons chauds de jaune et d’orange. Le coucher du soleil ne rend pas le paysage plus beau.
Au contraire, tous les objets deviennent sombres, mal reconnaissables et perdent leur forme, ce qui crée un sentiment de manque d’harmonie et de confort. Les branches des arbres se gonflent de boucles subtiles et la route semble chaude grâce à une combinaison de teintes de feu inappropriées.