“La beauté et la joie de vivre. La transmission de cette joie est l’essence de l’image, des morceaux de ma toile, la mienne… Je n’ai pas de direction et pas de mode – il n’y a pas d’impressionnisme, pas de cubisme, pas d’ism. C’est moi, c’est mon chant pour la vie, pour la joie c’est le paganisme. C’est pourquoi j’aime… l’art, l’amitié, le soleil, la rivière, les fleurs, les rires, l’herbe, la nature, la route, la couleur, la peinture, la forme… “- a écrit Korovin sur ses années déclinantes dans l’une des lettres.
Bien sûr, son refus de l’impressionnisme dans son travail est un désir de repousser l’accusation de suivre un certain système. Korovin était un impressionniste, mais son impressionnisme ne correspondait pas à un modèle rationnel de recherches dans le domaine de l’analyse spectrale. Un exemple frappant de cela est les nombreuses vues de Paris.