Le terme “panorama” a été introduit à la fin du XVIIIe siècle pour désigner une image qui couvre presque tout l’horizon. En règle générale, un panorama est combiné avec des dispositions de premier plan volumineuses.
Des espèces similaires aux XVIIIe et XIXe siècles jouissaient d’un grand amour du public. De nos jours, la signification du mot “panorama” a quelque peu changé, et maintenant toute vue large, “large” est communément appelée panorama. C’est en ce sens que ce terme s’applique à l’œuvre de Reysdal.
Les scènes de ses panoramas sont le plus souvent devenues des vues de son Harlem natif ou des scènes semi-fictives. En travaillant sur une composition panoramique, Reisdal a toujours choisi un angle élevé, ce qui lui a permis d’abaisser l’horizon et de laisser autant d’espace que possible pour son ciel nuageux bien-aimé.