Vereshchagin a consacré une vingtaine de tableaux à la guerre patriotique de 1812. Toutes ses peintures liées à ce sujet, il a peint dans la période de 1887 à 1901. L’artiste a voulu prouver au peuple que Napoléon n’est pas un héros et montrer le patriotisme du peuple russe. Ce tableau ne fait pas exception, il a été peint en 1897. Sur celle-ci, l’artiste a représenté la bataille de Borodino. Nous voyons l’empereur assis sur une chaise pendant que les autres soldats attendent les ordres et guettent l’ennemi.
Napoléon est assis avec un regard arrogant, croisant ses bras sur sa poitrine et étendant sa jambe sur le tambour. Il est clairement tendu et complaisant. Mais, malgré cela, nous pouvons supposer qu’il est alarmé et réfléchi. C’est comme s’il attendait quelque chose, il ne donne pas de commandement offensif. Et on peut supposer qu’il a peur que son armée ne tire pas cette bataille et qu’ils perdent. On sait que dans cette bataille, il était méfiant et a essayé de ne pas être touché par des balles.
Vereshchagin très réaliste a dessiné les uniformes des soldats et leurs armes. À mon avis, la composition est très bien construite. Le roi assis sur le trône, entouré de sa suite, on peut encore les appeler des chiens fidèles et des soldats qui ont été contraints de se battre.
Merci à Vereshchagin pour son cycle de chefs-d’œuvre qui nous permettent de nous familiariser avec les événements historiques, de les voir et d’imaginer dans notre imagination comment tout s’est passé.
Je rêve que tout le monde vit en paix, qu’il n’y a pas de guerrier entre les pays. Il n’y a rien de pire que la perte d’êtres chers. La Russie est une grande nation, elle peut être amie avec différentes nations. Notre pays devrait avoir suffisamment de richesse sous la forme d’étendues infinies de champs, de minéraux et d’autres valeurs. Mais nous ne devons pas permettre que notre peuple soit offensé ou insulté, même si nous ne vivons pas aussi prospèrement que nous le souhaiterions, mais nous devons accepter la vie comme une richesse, et les amis et parents à proximité comme des bijoux irremplaçables. J’aime mon pays.