Portrait du pinceau du peintre flamand Peter Paul Rubens “Maria Medici à l’image de Bellona”. Portrait format 276 x 149 cm, huile sur toile. Dans les années 1621-1625, Rubens a commencé à créer un cycle de peintures pour la reine française Marie de Médicis. Initialement, cette série de tableaux était destinée à une galerie du Palais du Luxembourg à Paris.
Cette série était censée être une série jumelée au cycle de peintures prévu, mais seulement partiellement achevé, sur la vie du roi Henri IV. La reine de France Marie de Médicis, l’épouse d’Henri IV, la mère de Louis XIII, fut régente pendant les années 1610-1614 sous le roi enfant. Lorsque Louis a atteint l’âge adulte, elle a continué à régner en son nom, avec son favori, le maréchal d’Ancre.
En 1617, d’Ancre est tué et Maria Médicis doit fuir. Marie de Médicis a tenté à deux reprises de soulever un soulèvement contre le cardinal Richelieu, a organisé des complots et a finalement été forcée de quitter la France pour toujours. Bellona, dans la mythologie romaine, la déesse de la guerre. Représenté avec une épée ou un fléau, souvent au centre de la bataille, sur un char. Bellona était également vénérée par la déesse des enfers.
Elle était considérée comme la mère de Mars, parfois l’infirmière. À partir de 458 avant JC, des cérémonies de déclaration de guerre ont eu lieu près du temple dédié à Bellona: le chef du collège sacerdotal des fetsials a jeté une lance sur le site, représentant symboliquement un pays ennemi. Dès le 1er siècle avant JC, Bellona a été identifiée avec Ma et son culte prend un caractère orgiaque.
Depuis lors, les citoyens romains sont officiellement interdits d’y participer et les serviteurs de la déesse guerrière sont recrutés parmi les étrangers. Les prêtres de Bellona portaient des robes et des casquettes noires; leur attribut était une double hache. Avec d’autres cultes orientaux, le culte Bellona-Ma s’est répandu en particulier dans tout l’Empire romain au 3ème siècle après JC.