Le petit village de Giverny en Haute-Normandie est devenu une inspiration pour l’artiste Claude Monet. Il abrite le domaine Monet, devenu aujourd’hui musée. Monet a consacré une partie de son travail créatif au Manoir, en se concentrant toujours sur l’abondance de la végétation.
Les peintures dédiées à la ville de Giverny sont toujours “vivantes” et juteuses. Ils sont enterrés dans des couleurs et une palette de couleurs vives. Il est à noter que le propriétaire a fait beaucoup de ses propres efforts pour créer des parterres de fleurs près du domaine. Il a personnellement planté des fleurs et des arbustes. Ses mains, brandissant magistralement une brosse, maniaient aussi habilement une pelle et un râteau. Ce qui révèle la polyvalence de Monet et son extraordinaire. L’image présentée ici montre une attitude respectueuse particulière de l’artiste envers le lieu de son établissement. Ce qui est remarquable sur cette photo.
Tout d’abord, la date de rédaction de l’ouvrage coïncide avec les troubles liés à la santé de Monet. Il a commencé à développer des cataractes – une phrase pour une perception claire des couleurs et des contours des objets. Deuxièmement, ce lieu est reconnaissable dans d’autres œuvres plus populaires de l’auteur, par exemple dans “Nymphéas”. Troisièmement, Claude a choisi un mode de présentation peu réussi. La peinture ressemble à un méli-mélo de verdure et de taches rouges. Le travail est perçu très dur en termes de clarté de l’écriture. Cela est dû à une maladie oculaire progressive.
Les objets ont cessé d’avoir de la clarté, alors l’artiste a peint le tableau avec des taches, floues et monochromes. Cependant, le plan de Monet était axé sur l’été et la splendeur de tout ce qui fleurit, s’épanouit jusqu’au soleil. On peut voir que le domaine est déjà abandonné et que la nature a pris le dessus.
Monet, 73 ans, n’était plus fort, mais il n’a abandonné la peinture que les derniers jours. Après la mort de l’artiste, le plus jeune fils s’est occupé du jardin, ainsi que l’épouse du fils aîné, Blanche, et d’une ancienne jardinière. Après cela, d’autres artistes ont commencé à s’installer à Giverny, s’inspirant de la nature de la banlieue parisienne, à l’instar du grand impressionniste.