Lorsque Delacroix était en Algérie, il a visité un harem qui appartenait à un ancien pirate. Quand il a été présenté à la moitié féminine, où les capitaines femmes en compagnie d’esclaves noirs ont passé la majeure partie de la journée, il a senti qu’il s’enivrait de l’étouffement humide, de l’arôme inhabituel d’un narguilé, de toute cette atmosphère étrange.
Des femmes étaient assises devant lui – il y en avait trois – tristes et costaudes, elles portaient beaucoup, et en même temps elles étaient comme à moitié nues. Ils sourirent d’un air détaché – le sourire d’une femme à qui personne ne répondrait. Contrairement à de nombreuses autres peintures, celle-ci est calme, tous les détails des vêtements pour femmes sont soigneusement écrits – un chemisier transparent pour le milieu, un sarouel vert décoré de points lumineux jaunes.
Dans les profondeurs se trouve une armoire à panneaux rouge-vert. En général, tout dans l’image est basé sur des contrastes de couleurs, c’est pourquoi l’image semble brillante et élégante.