Hendrickier par la fenêtre – Rembrandt Harmenszoon Van Rijn

Hendrickier par la fenêtre   Rembrandt Harmenszoon Van Rijn

Peinture de l’artiste néerlandais Rembrandt van Rijn “Hendrik à la fenêtre”. La taille de l’image est de 86 x 65 cm, huile sur toile.

Un exemple de la composition de ce portrait était une image attribuée à la Palma Vecchio vénitienne. “Ceci est une image du plus haut style, la robe dans des tons rouges brillants sur le fond des ombres profondes est remplie de larges traits énergiques. Les formes du visage visibles dans l’encolure de la robe du corps nu, les bras sont élastiques, lourds, denses. Le regard est affectueusement attentionné, ouvert, clair, profonde et pleine de sensualité.

La photo de l’artiste Rembrandt van Rijn est si compilée que les œuvres des portraitistes néerlandais ne semblent à côté d’elle que comme des études humaines insignifiantes. Devant nous est plus un mythe sur Hendrick qu’un portrait. L’attitude de l’artiste envers Hendrik est complètement différente de celle des images de Saskia. Dans les portraits de ce dernier, Rembrandt est comme capturé par la vision qui lui apparaît. Ici, le modèle est élevé par l’artiste à la valeur du monument.

Saskia lui a donné un nouveau monde, l’a entraîné dans ce monde, Hendrikje Stoffels le protège du monde qui l’entoure, tandis que l’artiste l’emmène dans son monde, le monde de l’art. Il l’exalte dans l’image, Hendrikhe ressent cette exaltation, elle le croit et rien ne peut ébranler cette foi. C’est sa grandeur humaine… Une forme expressive qui a préservé la simple humanité et la gentillesse de l’âme féminine dans le portrait. “

Après avoir vendu la maison aux enchères au milieu des années 1650, Rembrandt a continué à vivre et à travailler sur la rue Breestraat, mais à la fin de 1660, il a déménagé dans le quartier artisanal de Jordaan, sur la rue Rosengracht. En décembre de la même année, Titus et Hendrikie ont trouvé une entreprise vendant des œuvres d’art, ils ont pris Rembrandt pour servir de “conseiller” pour la nourriture et le logement gratuits, et comme service de réponse, ils ont repris toutes ses œuvres nouvellement créées.

Cette démarche, qui n’est pas incontestable juridiquement, la protège des attaques des créanciers et de la résolution de la Guilde de Saint-Luc adoptée en août 1658, cette “représentation des intérêts des artistes” dirigée directement contre Rembrandt van Rijn. Selon ce décret, pas un seul artiste en faillite dont la propriété a été vendue aux enchères n’a le droit de travailler dans la ville et d’en recevoir des revenus.

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