Des “tisserands” comme s’ils descendaient des peintures de Millet, mais dans l’image de Courbet, au lieu de l’ascèse pathétique et sévère inhérente au travail du barbizon représentant des paysannes au
Femme au perroquet – Gustave Courbet
Gustave Courbet, fondateur du mouvement réaliste français, a étudié la peinture à Ornans, puis à l’école d’art de Besançon. En 1839, l’artiste se rend à Paris et y travaille dans
Autoportrait à la pipe – Gustave Courbet
Parallèlement à des compositions sur des sujets religieux et littéraires, il réalise des portraits, se représentant principalement lui-même. Avec un plaisir évident, elle donne à Courbet les traits d’un beau
Atelier d’artiste – Gustave Courbet
Finissant le travail sur l’Atelier de l’Artiste, Courbet partage avec son ami l’écrivain Chanfleury: “Les gens qui aiment exprimer leurs opinions en toute occasion et se réveiller au milieu de
Funérailles d’Ornans – Gustave Courbet
Courbet a commencé à peindre en 1849, dans un grenier exigu à Ornan. Le travail de l’artiste a fait sensation dans la société locale qui est tombée dans ses héros
Scènes de chasse – Jean Desiree Gustave Courbet
La deuxième passion après avoir peint Courbet était la chasse. Il programmait souvent des voyages pour travailler à Ornan pendant les saisons de chasse. En 1858, il a eu la