En 1872, le talent de I. I. Shishkin se développait activement. Juste à ce moment, ses vues sur l’art se formaient. Cette année, l’artiste écrit le tableau “Forest Wilderness”. Je crois que c’est exactement ce à quoi ressemble un endroit où il n’y a jamais de monde. Personne n’ira dans un tel désert, et ils ne monteront pas si loin. Voici le royaume des animaux, où les gens ne les dérangent pas, et ils peuvent vivre librement, sans peur.
La forêt dense et dense semble connaître de nombreux secrets, mais elle ne les révélera à personne. Il n’y a pas d’arbres sciés, ils ne tombent que de forts vents. Les épinettes vivaces atteignent le soleil et déploient leurs branches, les entrelaçant avec les branches des arbres voisins. À gauche et à droite entre les arbres, vous ne pouvez même pas voir l’écart, un véritable désert. Mais au centre, c’est comme une sortie et on voit une petite prairie illuminée par le soleil, derrière laquelle une forêt imprenable recommence.
Au premier plan semble être un marais. Sur elle reposent plusieurs arbres tombés et certains d’entre eux sont déjà complètement recouverts de mousse. Si une personne était dans cet endroit, il serait peu probable qu’elle puisse surmonter ce marais. Le sentiment qu’un endroit fragile s’étire jusqu’à cette clairière où le soleil est visible. Par conséquent, il est dangereux pour une personne d’être dans de tels endroits, car le marais est un endroit insidieux.
Vous ne remarquez pas immédiatement un renard sur une bûche près d’un marécage, qui a effrayé un oiseau. Comparé aux arbres majestueux, l’animal a l’air si petit qu’à première vue, il est impossible de le voir. Ce paysage de I. I. Shishkin fascine et vous fait le regarder longtemps. Lorsque vous regardez la forêt sauvage pendant longtemps, chaque fois que vous voyez de plus en plus de détails que vous n’avez pas remarqués au début. En regardant la toile, il semble que dans cette forêt le silence absolu et seul le battement des ailes d’un oiseau effrayé viole ce mystérieux silence.