
Les nouvelles danses, apparues dans les années 1890, connurent un vif succès auprès des Parisiens. Lautrec, attaché à eux non moins qu’aux autres, a tenté, sans retarder l’affaire, de les capturer dans des croquis, précédant souvent des peintures et des lithographies à part entière.
Dans ce travail, il ne s’intéresse qu’au mouvement effréné d’un danseur flottant autour de la scène – tout le reste se fond dans le fond et ressemble à un croquis.
Loy Fuller – Henri de Toulouse-Lautrec
Le comte Alfons de Toulouse-Lautrec règne sur une charrette à quatre chevaux – Henri de Toulouse-Lautrec
La mère de l’artiste, la comtesse Adèle de Toulouse-Lautrec au petit déjeuner – Henri de Toulouse-Lautrec
Au Cirque Fernando – Henri de Toulouse-Lautrec
Etude pour la lithographie “Loye Fuller à Foley-Berger” – Henri de Toulouse-Lautrec
Rose rouge – Henri de Toulouse-Lautrec
Clowness Sha-Yu-Khao – Henri de Toulouse-Lautrec
Reine de joie – Henri de Toulouse-Lautrec