Les nouvelles danses, apparues dans les années 1890, connurent un vif succès auprès des Parisiens. Lautrec, attaché à eux non moins qu’aux autres, a tenté, sans retarder l’affaire, de les capturer dans des croquis, précédant souvent des peintures et des lithographies à part entière.
Dans ce travail, il ne s’intéresse qu’au mouvement effréné d’un danseur flottant autour de la scène – tout le reste se fond dans le fond et ressemble à un croquis.