La photo “Cigognes” que j’ai vue pour la première fois. Elle m’a vraiment impressionné. La première impression, la première pensée qui m’est venue à l’esprit que tout était dirigé vers le haut. Les cigognes représentées sur la photo, l’une après l’autre, planent dans le ciel. Certains planent déjà dans le ciel, d’autres décollent, décollent de la terre. Ce sont les cigognes qui sont les personnages principaux de cette image. Ils sont représentés sur l’arrière-plan du champ. A l’horizon, nous voyons une forêt dense. Les roseaux montrés par l’artiste au premier plan donnent l’impression que l’image se déroule quelque part dans une zone marécageuse, près d’un réservoir.
Je pense que l’auteur a montré l’un des jours d’automne. Malgré le fait que l’été soit terminé, le soleil brille toujours et se caresse avec ses rayons chauds. Épillets sur le terrain, certains arbres de la forêt sont représentés en jaune. L’artiste a peint le ciel avec des peintures bleues tendres.
Les nuages gris-blancs sont rares. Ils sont représentés aussi haut que le vol de cigognes. Ils se connectent littéralement, unissent le thème de la terre et du ciel dans cette image, car l’artiste a montré qu’ils s’étiraient de la terre au ciel azur. On voit que les ailes des oiseaux ont une teinte jaunâtre, parfois même verdâtre, comme si l’herbe s’y reflétait, comme dans un miroir. Mais les rayures noires sur les bords de leurs ailes sont tout simplement incroyables et les distinguent efficacement du ciel.
Le jeu de couleurs chaudes, caractéristique de ce travail, suggère que l’automne nuageux n’a pas encore pris le dessus. Alors qu’il fait chaud, l’été, le temps ensoleillé règne. Les cigognes dans les œuvres de nombreuses personnes créatives sont associées au fait qu’elles quitteront leur foyer natal, la maison parentale. Le cœur commence à battre plus souvent, il devient triste.
Mais les oiseaux ne s’envolent pas pour toujours, ils reviendront certainement, et il y aura une nouvelle vie, un nouveau printemps, rempli de nouveaux événements joyeux. Il n’y aura aucune trace de tristesse. Je pense que l’auteur, par des moyens artistiques, a voulu nous montrer qu’il faut absolument retourner chez nos parents, qui nous attendent toujours.