L’image attire et ravit par sa simplicité, son identité nationale. L’intrigue de la composition dès les premiers moments devient indigène, à la maison – confortable. L’artiste a représenté une petite prairie verte, inondée de soleil. Une clairière coupe la clairière à certains endroits, recouverte de lentilles d’eau par endroits. Sur l’une de ses rives, il y a des bouleaux endormis, rétro-éclairés par le soleil et contrastant avec le contour sombre de la forêt en arrière-plan.
L’image fascine par sa légèreté, une certaine déco: il n’y a presque pas de détails ni d’accents. Tout est très aéré. L’attention n’est attirée que sur quelques branches de bouleaux, que l’auteur de la photo dessine avec beaucoup d’amour et de réalisme.
Les critiques trouvent à juste titre un certain style lévitique dans la composition: Kuindzhi, créant “Birch Grove”, s’appuie sur l’imagination de son spectateur, ne lui donne qu’une composition générale, le spectateur réfléchit lui-même aux détails.
Il convient également de noter le contraste des combinaisons: les troncs de bouleau blanc neige, légèrement lavés sont ombragés par une forêt sombre, parfois presque noire, qui est représentée en arrière-plan.
Kuigi est à juste titre considéré comme “l’artiste du monde”: le tableau “Birch Grove” en est la meilleure preuve. Une combinaison subtile de lumière et d’ombre, de lapins de soleil, de sauter le long des troncs d’arbres et d’une eau de profondeur sombre et délicieuse – tout cela transmet la facilité du coin du bosquet, l’éclat d’une journée d’été.
La photo a été précédée de nombreux croquis. Tous sont unis par la présence de bouleaux sur fond sombre.