Dans sa peinture “Après la pluie. Route de campagne”, Vasiliev F. A. dépeint un paysage rural. Au premier plan de l’œuvre, nous voyons une villageoise qui conduit sa vache au pâturage. La femme porte une jupe longue et sa tête est bien enveloppée dans une écharpe cramoisie foncée. Derrière la femme, un petit chien noir court le long de la route. À gauche de la femme se trouve un panneau branlant avec le nom du village, qui est soutenu par une clôture en bois branlante. À certains endroits, l’ancienne clôture a déjà réussi à faire pousser de l’herbe.
La route pavée est délavée par la pluie qui vient de passer. Les flaques et la saleté sont partout. La route de campagne est encadrée des deux côtés par des prairies vertes avec de l’herbe légèrement jaunie. De gros rochers gris luisant de l’eau de pluie sont visibles à certains endroits. Une route sinueuse mène à de vastes étendues de champs. À gauche de la femme se trouve un champ jaune, presque doré, semé de seigle. 3 personnes marchent vers la femme sur la route. Devant le côté droit se trouve une forêt verte ou un atterrissage.
A en juger par la pente importante des arbres, un fort vent froid souffle. La ligne d’horizon est clairement visible. Elle semble diviser l’image en deux du côté sombre et lumineux. Le ciel se cache toujours dans les nuages noirs et les cumulus. Mais déjà au milieu, vous pouvez voir le bleu visible. De ce bleu, les rayons du soleil sortent légèrement, comme pour marquer la victoire du bien sur le mal. Grâce aux rayons du soleil, le champ de seigle est encore plus coulé en or.
En général, l’image évoque l’impression d’un malheur imminent, comme s’il y avait encore un danger.